Galerie d'Art SALADIN (Sidi Bou Saïd)

L’incontournable agenda culturel de Galerie Saladin !

« Brillant promoteur des Arts » … « mécène audacieux » … « bienfaiteur inspiré » … depuis plus de six ans d’entreprise acharnée et d’expositions continues, de prises de risques et épreuves surmontées, de hauts et bas traversés, de déceptions causées et subies, de nombreux qualificatifs et superlatifs ont ainsi été finalement utilisés pour nommer et flatter l’intense activité et les succès répétés de Monsieur Ridha Souabni, Fondateur-Directeur de la galerie d’Art « Galerie Saladin » à Sidi Bou Saïd. Devenu à force de travail, audace et ténacité, un acteur majeur de la scène plasticienne tunisienne, son ambition personnelle et professionnelle ne s’arrête pas à uniquement produire d’éphémères expositions de peinture, aussi prestigieuses et réussies soit-elles (Zoubeir Turki ; Aly Ben Salem ; Jellal Ben Abdallah ; Mohamed Zouari ; Mourad Chaâba …). En sélectionnant les œuvres et artistes d’hier, d’aujourd’hui et de demain, en mettant en avant des créatifs d’ici et d’ailleurs, confirmé ou en devenir, en faisant se succéder tous les styles, toutes les tendances, toutes les gammes, toutes les palettes, tous les genres, en animant les expositions par d’insolites et attractifs événements, en parrainant d’utiles mises en relation, célébrant inlassablement l’Art et son Public, l’entrepreneur Ridha Souabni rempli généreusement un Agenda culturel pluridisciplinaire devenu incontournable en Tunisie. Par son ouverture au monde et à la diversité créative, par sa légendaire hospitalité, il offre sans cesse à voir et à faire, contribue brillamment à dynamiser la filière des Beaux-Arts toute entière, et à renforcer la réputation de colline des poètes et des peintres de sa commune natale, le pittoresque et maraboutique village de Sidi Bou Saïd, véritable Capitale des Arts et authentique Cité de la Culture en Tunisie. Mieux encore, par ses fréquents choix inédits et iconoclastes, ne réduisant pas son métier de galeriste à exposer et vendre des toiles, a fortiori uniquement des valeurs sûres ou dans l’air du temps, il décloisonne les habitudes du métier, bouscule des normes et préjugés de programmation, actualise des inerties idéologiques, et prend ainsi date avec toutes les générations et bonnes volontés qui veulent dès aujourd’hui inscrire Sidi Bou Saïd et toute la Tunisie au tableau d’honneur culturel des nations de son continent, et bien au-delà !

EXPOSITION SIDI BEN SALEM : De Stockholm à Sidi Bou Saïd. Du Samedi 21 Octobre au Mardi 28 Novembre 2017, plus de 50 tableaux du grand maître tunisien Aly Ben Salem (1910-2001), tous formats, avec des pièces rares venus de Stockholm (Suède), encore inédits en Tunisie. Galerie SALADIN (Sidi Bou Saïd) ouvert tous les jours de 15h00 à 20h00. Tél : 98 264 110. Entrée Libre.

EXPOSITION MOHAMED ZOUARI. Du Samedi 2 Décembre au Samedi 30 Décembre 2017. Vernissage d’exposition le Samedi 2 Décembre 2017 à 17h00. 42 tableaux inédits. Galerie SALADIN (Sidi Bou Saïd), ouvert tous les jours de 15h00 à 20h00. Le matin sur Rendez-vous. Tél : 98 264 110. Email : contact@galeriesaladin.com Entrée Libre.

EXPOSITION AHMED SOUABNI. Du 6  au 28 Janvier 2018. Galerie SALADIN (Sidi Bou Saïd), ouvert tous les jours de 15h00 à 20h00. Le matin sur Rendez-vous. Tél : 98 264 110. Email : contact@galeriesaladin.com Entrée Libre. 

SIDI BOU SAID, Capitale des Arts et pôle culturel international !

A Sidi Bou Saïd, l’authentique Cité de la Culture en Tunisie, il y a un historique prestigieux de vie artistique depuis très longtemps, et d’un incontestable niveau international connu et reconnu. Autrefois, à l’instar des cénacles bohèmes de Paris-Montmartre, d’éminents intellectuels et artistes de renom visitaient (Mack, Klee, Matisse, Montherlant, St Exupéry, Bernanos, Corpora, Revault, Amrouche, Guibert, Max-Pol Fouchet…) et habitaient la colline (André Gide, Albert Marquet, Michel Foucault, …), y trouvant une inspiration approfondie, des désirs renouvelés, souvent un tournant dans leur parcours, une révélation, une sublimation de leur oeuvre, son élévation. Des peintres y établissaient alors leurs ateliers (Aly Ben Salem et son « Rêvoir » ensoleillé près du phare ; Jallel Ben Abdallah face à la mer et son incontournable Boukornine ; …). Hedi Turki y vit encore (la Galerie Municipale qu’il a tant illuminé de ses toiles est à son nom de son vivant). Aujourd’hui, fort de ses héritages, influences et expériences, des galeries d’Art (dont la Galerie A.Gorgi qui représente souvent l’art contemporain tunisien lors de foires et salons internationaux), des festivals (comme le FAM, Festival des Arts Méditerranéens, au printemps), des journées du Patrimoine (en Avril-Mai de chaque année), des espaces, centres et cafés culturels, des Dar et Palais (ce merveilleux Ennejma Ezzahra, Palais du Baron d’Erlanger, qui expose sa collection personnelle toute l’année dans une salle dédiée), mais aussi, plus récemment, par une logique de désenclavement et décloisonnement, des restaurants, hôtels et divers initiatives publiques et privées, de plus en plus d'adresses boussaïdiennes encouragent et exposent les plasticiens de manières permanente ou occasionnelle. Dans cette Economie Culturelle en expansion, tous les talents, tous les créatifs, tous les jets d’ivresse, sont sollicités pour faire rayonner la vénérable colline, incessante source d’inspiration pour lettrés et esthètes de tous horizon, sous ses meilleurs couleurs, son meilleur jour, et pour son meilleur avenir. Parmi eux, l’entrepreneur Ridha Souabni, fils du village et Fondateur-directeur de Galerie Saladin, s’efforce tout au long de l’année, depuis sa création en 2011, d’offrir dans son propre espace, « Espace de Liberté », le meilleur programme d’exposition et d’animation (visites guidées ; causeries littéraires ; récitals de musique ; …) qui soit pour faire honneur et gloire à cet héritage. Promoteur par nature et nécessité de la Peinture du Monde, il s’évertue vernissage après vernissages de continuer à mettre au cœur de toutes les effervescences et attentions sa merveilleuse cité natale, confirmant là son identité et vocation de véritable pôle culturel international !

GALERIE SALADIN, Peinture du monde !

Ambassadeur des ambassadeurs et des artistes, Monsieur Ridha Souabni, Fondateur-directeur de la galerie d’Art « Galerie Saladin » à Sidi Bou Saïd, l’espace culturel aux mille-et-un visas et visages, fait régner depuis sa création en 2011 un incroyable cosmopolitisme à la fois dans sa programmation artistique et dans la fréquentation et ambiance de son espace. Il transforme ainsi chacun de ses visiteurs en véritable citoyen du monde, libre et affranchi de toutes douanes et passeports, ouvrant des ponts et passerelles vers de multiples foyers créatifs et destinations : Montréal, Nouméa, New York, Paris, Bordeaux, Stockholm, Pologne, Russie, Brésil, Maroc, Algérie, … Gardant toujours une large place pour les plasticiens locaux, ceux de l’Ecole de Tunis comme ceux contemporains, d’Aly Ben Salem à Mohamed Zouari, de Zoubeir Turki à Amin Chaouali, il fait ainsi de son village natal maraboutique de Sidi Bou Saïd le centre magmatique de toutes les pérégrinations et attentions esthétiques. Au fil des expositions, animations et performances, c’est tout un catalogue de « Peinture du monde » que le célèbre hôtelier culturel Ridha Souabni construit et offre généreusement à voir à ses invités et amis. Et toujours en « Entrée Libre » !

(En photo : Mohamed Zouari et ses tableaux de l'exposition deDécembre 2017 chez Galerie Saladin) 

Les visites guidées de Ridha Souabni à Galerie SALADIN !

Comme tout amateur d’Art et collectionneur avertis, le Fondateur-directeur de Galerie Saladin, Monsieur Ridha Souabni, cherche sans cesse à réunir et réussir la collection privée idéale, non pas celle dictée par les lois du marché et leurs incompréhensibles critère de cotation et beauté, mais bien la sélection de tableaux qui dégage du sens, qui imprime un plaisir durable à son acquéreur et à tous ceux qui la contemplent, et qui demeure non seulement une valeur marchande pérenne, un bien transgénérationnel, mais une authentique valeur immatérielle, une trace de quelque chose de souvent indéfinissable, de lien mystérieux et très personnel, de civilisationnel, que souvent seuls les artistes réussissent à transcrire, à transmettre. C’est dans cet esprit-là, de passionné des Beaux-Arts et de Culture, de ses créatifs comme de leurs œuvres, de leurs génies et de leurs combats, que l’entrepreneur culturel Ridha Souabni, conçoit dans sa galerie de Sidi Bou Saïd la programmation de ses expositions : être le Paradis des Collectionneurs. Et pour en faire profiter au maximum toute personne désireuse et curieuse de beaux tableaux, ou simplement pour passer un bon moment, il se tient à disposition, expérimenté hôtelier, pour offrir à chacun avec son légendaire et ensoleillé sourire, d’inoubliables visites guidées !

GALERIE SALADIN, Paradis des collectionneurs !

Démarrer et développer sa propre Collection d’œuvres d’Art est une activité de plus en plus prisée et pratiquée partout dans le monde et dans toute « bonne société ». Pour le plaisir de s’offrir un tableau de maître, pour assouvir sa passion pour l’Art , étoffer une collection personnelle des meilleurs peintres contemporains, ou pour investir sur l’un des placements les plus sûrs qui soit dans le temps et dans l’espace, les bonnes raisons de chacun à acheter actuellement une ou plusieurs toiles ne manquent pas. Galerie Saladin et son Fondateur-directeur Monsieur Ridha Souabni, professionnel aguerri dans la sélection de tableaux, propose depuis son ouverture en 2011 à Sidi Bou Saïd, un éclectique programme d’exposition-ventes et un des catalogues les plus fournis en artistes et œuvres diversifiés. Véritable paradis des collectionneurs et des institutions (publiques et privées) acquéreuses d’œuvres, toute la gamme des styles, époques et genres picturaux, des signatures les plus recherchés aux nouveaux talents dénichés, est représenté chez GALERIE SALADIN : les classiques et éternels (Aly Ben Salem ; Zoubeir Turki ; Jalal Ben Abdallah ; Victor Sarfati ; Hedi Turki ; …), les valeurs sûres contemporaines (Ahmed Souabni ; Mohamed Zouari ; Mourad Chaâba ; Amine Chaouali ; …), les valeurs montantes et coups de cœur (Walid Lemkecher ; Olga Malakhova ; Gerald Di Giovanni ; Caroline de Groiselles, Henda Labidi ; …). Avancer en terrain connu quant à la côte et tendance des plasticiens locaux et internationaux disponibles à l’achat en Tunisie est primordiale. C’est ce dont s’efforce de réussir l’entrepreneur culturel Ridha Souabni, pour le plus grand bonheur de ses clients, visiteurs et amis.

(Photo : Ridha Souabni dans l'atelier de Mohamed Zouari)

Exposition LE CHEMIN MYSTERIEUX d’Annette MONNIER, dans la Galerie Saladin de Sidi Bou Saïd du vendredi 19 Juin au vendredi 26 Juin 2015.

Les premiers pas dans cet espace d’art nouvellement paré donnent une ambiance new age de salon feng shui que nous avions déjà ressenti l’an dernier avec cette même artiste. Les couleurs dominantes récurrentes vertes et bleues des toiles d’Annette Monnier s’harmonisent gracieusement au blanc des murs, des piliers, du mobilier et du sol carrelé de cette élégante galerie proprement tenu par son directeur Ridha Souabni. Au premier abord, premier regard, il se produit donc cette impression générale de paix, zénitude, sérénité, un « ici et maintenant » très reposant, fruit de l’hygiène de vie d’Annette et de son approche artistique riche en Sagesses et méditations, dont la pratique du Do, un art martial dont la plasticienne girondine est ceinture noire. Puis très vite, tout en conservant en soi le climat calme et aérien initial, nous sommes absorbés par les thèmes des toiles. A priori du figuratif floral et paysager, certes bien agréable par ses pastels et son immédiateté, toutefois sans virtuosité ni fantaisie particulière apparentes, avec des chemins effectivement par-ci par-là comme promis par le titre de l’affiche, rien de bien mystérieux toutefois.

Pots de fleurs, bords de mer, femmes chimères et autres acryliques bucoliques, une expo aux visuels sensiblement évidents et simples. Trop simples même. Car quelque chose d’imperceptible se passe qui ne cesse d’intriguer l’œil, irriguer la curiosité, titiller la mémoire et alerter l’intelligence. Comme un faux réalisme naïf qui masquerait habilement ses hermétismes et cacherait pudiquement ses aspirations surréalistes. « Le parcours, c’est les rencontres ! », nous avait-elle pourtant malicieusement indiqué lors de la causerie littéraire en marge du vernissage. En effet, véritable sursaut poétique au-delà du fleur bleu et sentimentalisme de surface, dédoublement visuel révélant un tableau dans le tableau, chaque toile surligne systématiquement et plus ou moins discrètement un de ses éléments, nous l’isole de l’ensemble et le maintien en suspens comme une rencontre initiatique, un indice subliminal à préserver précieusement.

C’est alors l’instant magique et jubilatoire où le mystère prend forme. Toute l’expo en est bouleversée. L’artiste, trop instruite, trop initiée, trop espiègle aussi, restauratrice experte d’oeuvres de maître, et lectrice attentive du Miroir Merveilleux de Pierre Mabille, n’a pas pu se contenter d’une simple succession de toiles esthétisant les unes après les autres, cette lecture linéaire standard et premier degré trop attendue, trop convenue. C’est un jeu à énigmes, jeu de pistes, vaste puzzle qui est proposé aux visiteurs et promeneurs attentifs. Telles les 26 lettres d’un même alphabet, chacune des 26 peintures est reliée à toutes les autres, autant de codes et portes d’entrée au monde sensible des rêves et des univers enchantés de la créatrice lettrée. Les tonalités douces et sujets anodins sont justement là par sa volonté pour faciliter le lâcher-prise, se concentrer sur le positif et percevoir la face cachée des choses. Ainsi dans chaque toile un élément singulier finit par s’imposer, se détacher, interpeller. Il s’isole du tableau et se met à disposition de l’esprit pour composer un nouveau tableau, imaginaire celui-là. Et toute cette recomposition, ce livre d’images personnelles et universelles en même temps, est un long chemin sans fin, long mystère du devenir, avant que l’unité nouvelle n’apparaisse, n’advienne et s’éclaire, cette réalité absolue tant espérée par André Breton et ses compères. Animée par son âme d’enfant et son goût pour le didactisme ludique, Annette Monnier déguise ainsi sa collection de souvenirs sublimés. Théâtre et récréation, l’art n’est que prétexte au partage d’une vision, d’une existence et son éternelle jeunesse, d’une Sagesse.