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chez Jean Baptiste MESONA
Dans un monde où la visibilité digitale est devenue une nécessité absolue pour les artistes, les créateurs, et les espaces culturels, je m’engage, en tant que consultant culturel, à transformer vos idées en succès grâce à des stratégies personnalisées. Avec plus de 10 années d’expérience en France et en Tunisie, je suis spécialisé dans l’accompagnement des artistes, des galeries, et des événements culturels pour leur assurer une visibilité et une notoriété optimales.
Dans cet article, je détaille ma proposition de valeurs avec des faits et chiffres, des conseils pratiques, et des stratégies éprouvées pour les créatifs et professionnels du secteur culturel.
La visibilité : un enjeu stratégique pour les artistes
En France, on estime que près de 87% des consommateurs recherchent en ligne des informations avant de s'engager dans une activité culturelle ou artistique (source : Médiamétrie). Pourtant, seulement 38% des artistes indépendants disposent d’une présence en ligne structurée et optimisée pour capter leur audience cible.
Dans ce contexte, il est vital de :
Les galeries d’art, musées, et autres espaces culturels doivent rivaliser pour attirer des visiteurs, surtout à l’ère du numérique. Environ 70% des visiteurs potentiels d’un espace culturel consultent des avis ou recherchent des recommandations en ligne avant de prendre une décision.
Mon rôle en tant que consultant consiste à allier stratégie digitale, expertise culturelle, et créativité rédactionnelle pour propulser votre visibilité. Voici les axes sur lesquels je vous accompagne :
Grâce à ma maîtrise des principaux réseaux sociaux, je développe des stratégies sur-mesure adaptées à votre public.
Avec des techniques avancées de référencement naturel (SEO), j’aide vos sites web, blogs et portails à apparaître parmi les premiers résultats sur Google.
Résultat ? Une visibilité accrue, mesurable par des indicateurs tels que le trafic web (+45% en moyenne pour mes
clients après 6 mois) et une meilleure notoriété auprès des moteurs de recherche.
Un contenu bien rédigé, c’est un outil puissant pour :
Avec une approche basée sur la psychologie du consommateur, j’élabore des textes persuasifs qui conduisent à l’action. Chaque mot compte.
Amin Chaouali, Artiste Peintre
Amin Chaouali, un talent émergent en Tunisie, avait besoin d’une stratégie pour atteindre un public international.
Galerie Saladin, Galerie d'Art, Sidi Bou Saïd, Tunisie
La Galerie Saladin souhaitait attirer plus de visiteurs locaux et internationaux.
En tant qu’écrivain et critique d’art, je comprends les sensibilités artistiques. En tant qu’expert digital, je sais traduire cette vision en stratégie concrète et performante.
Chaque artiste, espace ou événement est unique. Mon approche sur-mesure garantit que votre identité soit respectée et sublimée.
Si vous êtes un artiste, une galerie, ou un événement culturel cherchant à maximiser votre visibilité, il est temps d'agir. Voici ce que je propose :
Ensemble, nous ferons en sorte que votre talent soit reconnu et célébré.
Parce que votre art mérite d’être vu.
Jean-Baptiste Mesona dans une installation d'Amin Chaouali chez Galerie Saladin, Sidi Bou Saïd
Le métier de consultant culturel, art et patrimoine connaît une montée en puissance en France, notamment au sein des TPE-PME, institutions culturelles, collectivités locales et organisations cherchant à valoriser leurs projets artistiques et leur patrimoine. Dans un contexte de forte compétitivité et de nouvelles attentes du public, le consultant apporte son expertise pour concevoir des stratégies de développement culturel, renforcer l'attractivité des territoires, et favoriser la transmission du patrimoine. En France, le secteur de la culture représente 2,3% du PIB, soit 47,5 milliards d’euros en 2022 selon l'INSEE, et ce domaine attire de plus en plus de consultants spécialisés, notamment dans le cadre de projets financés par des subventions publiques ou des mécénats privés.
Le consultant en culture, art et patrimoine accompagne les institutions, entreprises et collectivités dans la conception et la mise en
œuvre de stratégies culturelles. Son travail consiste à mettre en valeur les actifs patrimoniaux et artistiques, à élaborer des programmes d’expositions, des projets culturels ou des plans de
conservation du patrimoine. Il intervient également dans le développement de nouvelles offres culturelles, dans la gestion des publics et dans la communication autour des projets.
Le consultant culturel joue un rôle clé dans le développement de projets artistiques ou culturels, que ce soit pour des musées, des galeries, des centres d'art, des festivals ou des associations. Il aide à identifier les axes thématiques pertinents, à sélectionner les artistes ou œuvres, et à organiser des événements qui attirent un large public. Selon l’Observatoire de la Culture en 2022, les projets soutenus par des consultants spécialisés connaissent un taux de réussite de 60% supérieur à ceux menés en interne, grâce à une meilleure structuration et une stratégie adaptée.
La valorisation du patrimoine est un enjeu crucial pour de nombreuses collectivités et entreprises. Que ce soit pour la restauration de monuments historiques, la promotion du patrimoine immatériel ou le développement touristique, le consultant en patrimoine apporte son expertise pour rendre ces projets visibles et attractifs. Selon une étude de France Patrimoine de 2023, 46% des communes françaises ayant un patrimoine historique ont fait appel à un consultant pour développer des projets de valorisation au cours des cinq dernières années. Le recours à ces experts permet de préserver le patrimoine tout en le rendant accessible à de nouveaux publics.
Le financement des projets culturels repose souvent sur un montage complexe de subventions, de financements publics et de mécénats privés. Le consultant culturel intervient pour identifier les opportunités de financement, monter les dossiers de demande de subventions, et nouer des partenariats avec des entreprises mécènes. En France, selon Admical, 1 milliard d’euros ont été investis dans le mécénat culturel en 2022, et les entreprises mécènes privilégient les projets bien structurés et avec une forte dimension patrimoniale ou sociétale. Un consultant spécialisé augmente les chances de succès des candidatures en optimisant les arguments et en mettant en avant l'impact social et culturel des projets.
La réussite d’un projet culturel passe par une stratégie de communication efficace. Le consultant en art et culture aide les institutions à se positionner et à toucher leur public cible. Il élabore des campagnes de communication (digitale, réseaux sociaux, presse spécialisée) et conseille sur la manière de valoriser les œuvres ou les événements auprès des médias et des influenceurs. Une étude de Culture & Communication révèle que 74% des projets culturels ayant bénéficié d'une stratégie de communication externalisée ont vu leur fréquentation augmenter de manière significative.
Si les grandes institutions culturelles comme les musées nationaux ou les festivals de renom font souvent appel à des consultants culturels, le recours à ces experts s’étend de plus en plus aux TPE-PME, aux associations, et aux collectivités locales. Que ce soit pour la création de nouveaux produits culturels, la rénovation d'espaces patrimoniaux ou l'organisation d'expositions, les petites et moyennes structures comprennent l'importance de s'entourer d'un expert.
Les entreprises privées sont de plus en plus nombreuses à s’impliquer dans le développement culturel, soit pour renforcer leur image de marque, soit pour participer au développement de leur territoire. Une étude de Xerfi montre que 34% des PME en France ont soutenu un projet culturel ou artistique en 2022, contre 27% en 2019. Cela se traduit notamment par des partenariats avec des musées locaux, des mécénats d'artistes ou des événements culturels, dans une démarche de responsabilité sociétale et d'engagement auprès de la communauté locale.
Les collectivités locales, notamment les petites communes, sont également de grandes demandeuses des services de consultants en patrimoine et culture. Dans un contexte de revitalisation des territoires ruraux ou de réhabilitation de quartiers historiques, l’accompagnement d’un consultant permet de monter des projets de grande envergure tout en obtenant des financements et subventions. 41% des mairies de petites villes françaises ont fait appel à un consultant pour des projets patrimoniaux entre 2020 et 2023, selon l’ANCT (Agence nationale de la cohésion des territoires).
Le secteur culturel et patrimonial est en constante évolution, et les consultants doivent rester à l’avant-garde des nouvelles tendances pour apporter des solutions innovantes à leurs clients. Parmi les tendances actuelles, certaines influencent particulièrement le développement des projets culturels et patrimoniaux.
Avec la montée des technologies numériques, de nombreuses institutions culturelles et patrimoniales se tournent vers la numérisation de leurs collections et la mise en place de visites virtuelles. En 2023, 61% des musées français avaient déjà lancé des projets de numérisation de leurs œuvres, selon une enquête de Muséomix. Le consultant intervient dans la conception de ces projets innovants, en sélectionnant les technologies adaptées et en créant des expériences interactives pour les visiteurs, même à distance.
La prise en compte des enjeux environnementaux touche aussi le secteur culturel. La transition vers des pratiques plus durables dans l'organisation d'expositions ou d'événements devient une priorité. Culture 21 rapporte que 53% des institutions culturelles cherchent à réduire leur empreinte écologique. Le consultant joue un rôle clé en aidant à l'intégration de pratiques éco-responsables dans les projets culturels : conception de décors recyclés, optimisation énergétique des bâtiments historiques, ou encore gestion des déchets lors des événements.
Les projets culturels sont de plus en plus perçus comme des outils d'inclusion sociale et de cohésion territoriale. L’enjeu pour les consultants est de créer des programmes qui répondent aux attentes d'un public diversifié, notamment en termes d'accessibilité, d’inclusion des minorités, ou de participation des jeunes publics. En 2022, 27% des projets culturels financés par des subventions publiques avaient une dimension sociale ou éducative, selon le Ministère de la Culture.
Les chiffres confirment que les entreprises, les institutions et les collectivités locales font de plus en plus appel aux consultants pour la gestion de leurs projets culturels et patrimoniaux. Une étude du Cabinet Pluricité montre que le marché du conseil culturel a progressé de 8% en moyenne par an entre 2018 et 2023, avec une demande accrue de la part des PME et des collectivités locales. 48% des entreprises ayant soutenu un projet culturel en 2022 déclarent avoir sollicité un consultant pour optimiser la réalisation et la communication de ce projet.
Conclusion
Le métier de consultant culturel, art et patrimoine s’impose comme un levier stratégique pour accompagner les entreprises et les institutions dans la mise en valeur de leurs projets culturels. En pleine croissance, cette profession répond à des besoins croissants en matière de valorisation du patrimoine, de développement d’événements artistiques, et de gestion des subventions. Grâce à leur expertise, les consultants permettent de structurer et d’accélérer la réussite des projets tout en favorisant l'innovation, l'inclusion sociale et la durabilité.
Wahib Zannad
EXPOSITION « MEDITERRANEE » DE WAHIB ZANNAD
Exposition personnelle « Méditérranée » de l'artiste-peintre tunisien Wahib ZANNAD. Du 25.10.2019 au 3.11.2019 à la galerie municipale Hédi Turki de Sidi Bou Saïd (Tunisie), une exposition inédite avec plus de 70 œuvres : Huiles, aquarelles et croquis. Wahib Zannad nous offre son regard singulier sur des scènes nourries par la lumière méditerranéenne. Vernissage le Vendredi 25 octobre 2019 à 18h00.
https://www.facebook.com/events/990994311239422/
Architecte et Artiste plasticien tunisien, Wahib Zannad est né à Paris en 1979. Marié et père de deux enfants, il vit et travaille à Sidi Bou Saïd, Tunisie.
http://wahibzannad.tumblr.com/
https://www.facebook.com/wahib.zannad
Après un séjour de deux ans au Sénégal, Wahib Zannad se tourne vers l’art et obtient en 2006 le diplôme national en Art et Métiers à l’Institut Supérieur des Beaux-Arts de Tunis. En 2011 il obtient le diplôme national d’Architecte à l’Université Ibn Khaldoun puis fonde et gère en 2012 la société STUDIO Z. spécialisée en Aménagement paysager, Architecture & Décoration d’intérieur. « Méditerranée » est sa troisième exposition personnelle après « Djerba entre terre et mer » en 2016 et surtout la très remarquée « Les enfants des faubourgs » en 2017 pour ses portraits et scènes de vie contemporaines à la medina de Tunis.
Son rapport avec la peinture est avant tout un rapport avec l’espace : «Je conçois la peinture comme l’aboutissement d’une expérience émotionnelle vécue en certains lieux : ville, village, campagne, désert… peu importe l’endroit où je me trouve du moment où tous mes sens interagissent et qu’il arrive à provoquer chez moi un état de joie et de satisfaction.» confie-t-il à Emna Lakhoua pour Femme de Tunisie* en 2016.
*https://femmesdetunisie.com/vernissage-de-djerba-entre-terre-et-mer-de-wahib-zannad/
Expositions personnelles :
« Djerba entre terre et mer » (Sidi Bou Saïd, 2016)
« Les enfants des faubourgs » (Sidi Bou Saïd, 2017)
« Méditerranée » (Sidi Bou Saïd, 2019)
GALERIE ALY C.,
Arts & Hautes Traditions
52 bis, rue Hedi Zarrouk
2026 SIDI BOU SAÏD, TUNISIE
55 001 005
https://www.facebook.com/Aly.Cgallery/
Les ans passent, les hommes et leurs époques aussi. Et pourtant, comme un incontournable rendez-vous avec l’Histoire, insécable et immémorial engagement surclassant toutes les craintes et obstacles du moment, l’annuelle procession mystique du village maraboutique de Sidi Bou Saïd, la kharja, est revenue inéluctablement en cet ensoleillé dimanche 23 Août 2015.
Sous les regards enjoués et sourires satisfaits des passants du jour comme des habitués des cafés, les dignes héritiers de Sidi Azizi, Sidi Dhrif, Sidi Chaâbane, Sidi Bou Farès, Sidi Ghebrini, Sidi Bou Chaala et du saint patron lui-même Sidi Bou Saïd, offrirent à nos yeux émerveillés, nos cœurs et nos mémoires, un des événements majeurs de la culture et du calendrier soufi.
17h00, grosse chaleur, assistance déjà immense, un cavalier bien en selle, buste et regard droit, son sabre fermement et fièrement tenu, monture parée avec soins, s’avança avec majesté et lança les festivités. Autour de lui, encensoir et oriflammes ouvrirent la voie au cortège des adeptes et sympathisants dans une foule communiant déjà avec force leur enthousiasme et leur joie. Derrière eux, main dans la main, épaule contre épaule, les représentants des principales familles psalmodient d’un même élan, même souffle, leur foi et unité à exposer la quintessence du patrimoine populaire et spirituel de leur localité. A leur suite, au rythme des tambourins et battements de mains, au chant appuyé des uns et à l’ivre danse des autres, une virile énergie toute en vrilles mélodiques et incantations extatiques se dégage de ce vaste collectif qui ne fait alors plus qu’un. Arpentant la colline et ses pavés, depuis l’escalier du kawa al-alya jusqu’à la fontaine du bas, fusionnant avec les collègues venus de l’Ariana, disciples de Sidi Ammar marquant ainsi leur hommage au maître de leur maître (ce dernier venant passer trois jours chaque année chez Sidi Bou Saïd) puis remontant station après station cette même colline jusqu’à l’intérieur même du mausolée et son patio de marbre, pour terminer le pèlerinage au sein du célèbre et divin refuge par une flamboyante hadra.
Par leur persistance à réaliser cette démonstration publique et à donner sueur et chair à leur répertoire et rite, les issawis boussaidiens confirment tous les inestimables bienfaits de la Tradition sur ses villageois et au-delà. De sang, de sol ou d’adoption, toujours par conviction, jeunes et anciens ensemble renforcent ainsi de la manière la plus vivante qui soit l’ancestrale alliance sacrée, et, par cette marche solennelle, affirment pour longtemps encore les racines, les valeurs et la cohésion de leur nation.
Les ans passent, les hommes et leurs époques aussi. Et pourtant, invariablement, à Sidi Bou Saïd, source de la Tradition, phare d’une éternelle Tunisie, la kharja célèbre le renouveau permanent, vivifie et régénère en profondeur visiteurs et participants comme seule sait le faire une célébration soufie !
La troupe Al-Mangua fête les 80 ans de la Rachidia !
Le Samedi 30 Mai à la médina de Tunis, en présence d’un public nombreux venu pour fêter les 80 ans de la Rachidia, pour la première fois la troupe musicale Al-Manga, composée d’une vingtaine de choristes spécialisés dans l’interprétation du mjarrad (littéralement « dépouillée » des instruments de musique), a proposé son récital
Sous la conduite de Mohamed Farouk Chlagou, la troupe Al-Manga, nom qui signifie « al dokkana », ces fameux bancs en dur qui se trouvent habituellement dans les bains et les cafés maures, dans des commerces traditionnels et surtout dans les « zawiyas » (mausolées), a fait voyager toute l’assistance dans un monde de recueillement et mysticisme. Les litanies pleines de prières, d’invocations et de supplications de la « issawiyya » commencent par une section vocale qui est accompagnée uniquement par des battements de mains reproduisant ainsi un seul cycle rythmique à cinq temps qui, très lent au début, devient au fur et à mesure de plus en plus rapide, et même endiablés jusqu’aux transes. Une performance qui se veut une purification de l’âme, des sentiments et une aspiration à une sérénité supérieure, consacrant ainsi une tradition locale que les habitants de Sidi Bou Saïd, avec beaucoup de passion et de dévotion, pérennisant ainsi le travail de cheik Amor Amrouch, cheikh Aly Hadad et cheikh Salah Aansari, tiennent à préserver. Et c’est plutôt réussi jusqu’ici.
« En voyage avec R.Kapuscinski. Notes africaines par Gigi Sorrentino »
Exposition photographique proposée par la section tunisienne de l’association polonaise DOM POLSKI au Club Culturel Tahar Hadad (Dar Lasram), à la médina de Tunis.
L’exposition propose en une trentaine de clichés, et quelques textes les accompagnants, un travail plastique soigné qui immortalise des hommes, des femmes, des enfants, d’une Afrique ancestrale, immémoriale, mais encore bien vivante et présente. Ces instantanés de situations parfois banales, d’autres fois insolites, sont les pièces du puzzle d’un voyage initiatique à reconstruire dans une Afrique authentique mais sublimée par l’art photographique et son auteur. Ce sont des couleurs, des lumières, des cadrages, toute une esthétique parfaitement maîtrisée qui valorise les sujets et, le temps d’une exposition, nous les rapproche un peu. Les rites, les gestes, les objets, tout un univers, une civilisation. Ces habits, habitats, instruments de musique, tapis, nous touchent par leur beauté naturelle. Surtout cette même humanité, tout en regards profonds, tout en sensibilité, riche en messages, en images, nous confie, avant qu’il ne disparaisse, leur monde en héritage.
La Galerie enchantée de Tyna Geronimi !
L’ « Atelier de Tyna » s’est déplacé ce samedi 6 juin 2015 au café Saf Saf de La Marsa pour, le temps d’une journée, participer à l’événement du collectif plasticien des Regardeurs (coordonné par l’artiste Myriam Kallel) qui y ont exposé leurs tableaux durant toute la semaine.
Peindre et s’amuser en même temps, et le tout en public, voici le fabuleux concept du jour proposé par l’Atelier. Sous un beau soleil d’été et les yeux détendus des parents, avec les précieux conseils de Tyna Geronimi, pédagogue hors pair qui accompagne avec bienveillance l’apprentissage pluridisciplinaire des enfants, la cours du bas du café et son estrade se sont joyeusement transformés au fil des heures et au fur et à mesure des accrochages et créations en une véritable galerie enchantée. Encouragé également par les amis bénévoles de Tyna (Imed, Adnène), ce groupe d’enfants, âgés entre 5 et 10 ans, sans contraintes ni règles imposées, se sont réapproprié très vite le projet avec enthousiasme et énergie. Inès, Aya, Chahine, Assya, Aziz, Béchir, Nour et tous leurs camarades, après le mélange des tubes et le dosage de l’eau, après consultations des copains et copines autour de soi, décident librement de leurs couleurs, motifs et traits, qui illustreront leur contribution. Chacun avec sa palette, son pinceau ou son fusain bien en main, à la conquête de la grande fresque collective ayant pour sujet la ville de La Marsa, puisent dans son imagination, ou observation, pour nous dévoiler une vision inspirée. Un art figuratif, encore naïf, mais néanmoins réaliste et surtout émancipateur à en croire les permanents sourires et l’oublie de l’heure qui passa avec douceur. Irréversible expérience créative, chacun trouva en bon harmonie sa place dans le jeu et sur les grandes toiles dédiées à l’occasion. Et comme souvent avec Tyna, le mot de la fin fut offert par les enfants, ceux-ci lui ayant créé une devise-hommage pour leur troupe d’artistes en herbe : « Tyna aujourd’hui, Tyna pour la vie ! ». Signe d’une journée bien réussie.
Quand le traditionnel et le design se conjuguent pour offrir un supplément d’âme aux matières artisanales et aux objets du patrimoine, nous nous retrouvons dans l’ambiance haute en émotions et en couleurs du « Printemps des Créateurs » ! Dans la continuité du mois du patrimoine, l’événement « Le Printemps des Créateurs », initié et mise en place par Chiraz Seini, promotrice indépendante, s’est voulu un rendez-vous incontournable pour découvrir des créateurs et artisans tunisiens talentueux et de tous horizons.
L’événement s’est étalé sur quatre rendez-vous en quatre lieux différents : le Restaurant La Galette à La Marsa (le 17 Mai), la Maison Des Arts à Tunis-Menzah 1 (le 23 Mai), l’Espace Zmorda à La Soukra (le 30 Mai) et le Café M'rabet à Tunis-La Médina (le 6 juin). Chaque lieu, par son architecture unique et son ambiance authentique, a favorisé une thématique particulière qui attira chaque fois un public différent. Tantôt ethnique, tantôt contemporaine, faite d’œuvres et de créations nourries par la richesse de matériaux ancestraux, l’intérêt de cette fête très originale fût aussi que les tunisiens de chaque coin du Grand Tunis purent s’identifier au concept en fonction des lieux.
14 NOVEMBRE 2014, TUNIS
Sami LAJMI, compositeur et musicologue passionné, explore avec ferveur le sublime et rare répertoire de deux confréries historiques : la Aïssaouia et la El Aouemeya. A travers sa reconstitution à la fois respectueuse et rénovée du rituel, les spectateurs vivent une expérience artistique et spirituelle unique. Cette éblouissante alchimie entre musique et scénographie, entre lumière et chorégraphie, apporte profondeur et volupté aux chants extatiques et font ainsi de ZIARA le spectacle le plus intense et inoubliable du moment !
Vendredi 20 Décembre 2013 à partir de 17h !
CHEVALION EDITION présente :
Doukkanas, kahwa turc, thés à la menthe, helou, chichas, sefsaris, bakhnûg, malouf ... et poésie ! Soirée participative au café des Nattes de Sidi Bou Saïd ! (Entrée libre)
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